Quel bordel ! {Bradley

La sonnerie tant aimé des étudiants venaient de retentir dans l'Université. Pour Camilla s'était une occasion pour aller dans son casier pour prendre ses affaires. En effet, Miss Wood fonctionnait comme ça. Elle prenait les affaires du cours qu'elle avait et revenait toutes les heures dans son Casier. Mais à force d'entaser ses affaires, son casier était un foutoir.

Bref, la jolie brune marcha dans les couloirs en direction de son casier. Après avoir parcourut une petite distance, elle arriva à destination. Camilla fit son code et son casier s'ouvrit. Mais lorsque la porte s'ouvrit, une pile d'affaire tomba sur les pieds de la jolie brune qui ne pu se retenir d'avoir un leger cri de douleur.

"Aie !"

Quel Bordel dans son casier ! Là, son hypothèse fut plus que confirmée. Enfin bref, Cam' esperait que personne n'est vu son accident. Miss Wood se baissa donc pour commencer à rammasser ses affaires qui étaient tombés au sol.

Bradley sortit de son cours d'économie, un des cours les plus barbant qu'il lui avait été donner de faire. Le professeur n'avait pas arrêter de parler de la société et des changements qu'avait opérer la seconde guerre mondiale. Qu'est- qu'un chapitre d'histoire à avoir dans de l'économie, je vous le demande ! Il sortit de la salle, son sac sur le dos. Sa Julia était déjà partie avant, il l'avait donc manqué.

Il alla vers son casier, l'un des derniers au fond. Il avança d'un pas assuré, le pendentif "J-S" autour du cou. Il arriva presque à son casier, lorsqu'il vit une jeune fille de l'autre côté qui venait de faire tomber ses affaires. Le naturel de Bradley prit le dessus, et il alla aider la jeune fille à ramasser les cahiers et autres agendas tombés de ce casier. Il était accroupi aux côtés de la jeune femme et ramassait un par un tout les cahiers tombés sur le sol.

"Comment une fille peut avoir autant de chose dans son casier ? Moi, j'ai mes affaires pour la journée dans mon sac et je revient au casier le soir, c'est tout et ça évite... Ça."

Bradley sourit et reprit la parole:

"A part ça, rien de casser ? Ça à dû être une sacrée dégringolade."

Après être sortie de son cours de droit, Camilla s'était dirigée vers son casier. Lorsqu'elle l'ouvrit, une petite catastrophe se produisit. Les affaires trop entassées tomberent par terre. Miss Wood commanca à les rammasser jusqu'a ce qu'un inconnu vint l'aider, gentillement. La jolie brune regarda le jeune homme en lui faisant un mince sourire. Elle était genée de cette scène, mais en même temps contente qu'on vienne l'aider. Bref. La jolie brune continua de rammasser ses affaires en écoutant les remarques/question du beau bruns.

"Oui. Mais c'est que j'ai pas envie de porter toute la journée un gros sac ! Donc je fais comme ça...."

Après avoir fini de remettre ses affaires en place, elle garda la tête dans son casier pour faire du rangement. En même temps, elle écouta les paroles de l'étudiant. Pour répondre, etant polie, elle sorti la tête de son casier pour regarde celui qui l'avait aidé !

"Non, ça va. Pour mes affaires, je sais pas. Mais moi rien de cassé ! En effet, c'était une sacrée dégringolade. Mais bon, ça arrive. Mais merci de m'avoir aidé. C'est gentil à toi."

La jolie brunette lui fit un joli sourire et présenta sa main.

"Au faites, moi c'est Camilla !"

Après avoir aider la jeune femme à ramassé ses affaires, Bradley se releva et déposa le reste de ce qu'il avait ramassé dans le casier, bien ordonné. Il vit que la jeune femme lui présentait sa main, et sans attendre, il la prit et fit un sourire avant de répondre:

"Moi c'est Bradley, Bradley Hoconor, pour vous servir !"

Il vit un petit papier par terre, un bout de feuille. Quelques mots étaient écris dessus. Brad le ramassa et le lut à haute voix, sans savoir que ça aller perturber la jeune femme.

" "Andrew, jamais je ne pourrais t'oublier..." "

Se rendant compte de sa gaffe, il mit le papier dans le casier et fit comme si de rien était. Il regarda la jeune femme qui baissa le regard vers le sol. Il lui dit alors, se voulant coupable:

"Euh, désolé, je savais pas ce que c'était... Excuse-moi !"

Après que le casier soit enfin remit en ordre, Camilla sorti sa tête de son casier pour se présenter & tendre la main vers le jeune homme qui se présenta à son tour. Il s'appellait donc Bradley. Un beau nom pour un beau garçon !

"Echantée Bradley !"

Puis le beau brun vit une feuille par terre. Camilla ne se doutait pas une seule seconde que c'était les mots qu'elle écrivait sur des feuilles perdus...Et souvent ses mots repetait la même chose... Miss Wood regarda Bradley qui était entrain de lire. La phrase qui venait de lire fit rougir Camilla. Pas seulement de honte...mais aussi de colère. Cam' baissa le regard mais le remonta vite pour fermer violament son casier.

"Tu ne pouvais pas savoir ! Mais si tu pouvais ne rien dire à personne, tu serais gentil !"

Elle venait de dire ça d'un ton assez sec. Elle était enervé. Pas à cause de lui, mais plutot à cause d'elle. Elle aurait du mettre ses papiers dans un coin de sa chambre pour eviter que ça tombe entre les mains de quelqu'un. Maintenant, ce qu'elle esperait c'est qu'il ne connaisse pas Andrew. La jolie brune avait tellement honte qu'elle prefera partir...Du moins, elle commenca à partir.

La jeune femme était très gênée, et Bradley la comprenait. Ca lui était arriver il y à bien longtemps, mais avec une autre personne, aujourd'hui disparue... Il releva doucement la tête d la jeune femme qui regardait ses pieds, un peu honteuse, et il lui dit histoire de la rassurer, de lui montrer qu'elle pouvait lui faire confiance:

"Eh, ten fais pas, je ne dirais rien, je serait muet comem une carpe. Je sais garder des secrets, t'en fait pas. Si tu savais le nombre de secrets que je connais et que je n'ai jamais dit à personne !"

Une phrase qui aurait donner une raison de plus à Martin de le soupçonner, même s'il n'avait rien à voir là-dedans. Etrangement, il se mit à sourire por rien. Réaction un peu bizarre quand on vient de rendre mal une personne, mais lui, ça le faisait sourire, car il voyait que la jeune femme était gênée d'être gênée pour ça. Elle avait rougit et était maintenant rouge comme une tomate.

"Tu devrais aller boire un coup, tu prends des couleurs là ! dit-il en riant, Plus sérieusement, t'a pas à rougir pour ça, j'ai déjà vu et fait pire ! Je vais te raconter... Une fois je croyais être au téléphone avec ma petite amie, je lui disait plein de choses un peu privées tu voit, et quelques minutes après, je me suis rendu compte que je parlais à ma tante..."

Il se mit à rire. Il racontait cette anecdote pour faire rire la jeune fille qui se méttait dans un état pas possible pour rien.